Live d’Embrunman

Merci Thierry EHRHART de t’avoir tant livré sur ton récit

Numéro 5

Un nouveau départ … ou presque

Un an jour pour jour avant l’échéance, donc lors de l’édition 2014 de l’Embrunman. C’est à cette date que je retrouve trace de mon envie renouvelée d’affronter ce parcours de légende, parcours qui m’a pourtant déjà tant fait souffrir …certaines choses ne s’expliquent pas, en tout cas pas de manière rationnelle.

Pourtant le chemin jusqu’au 15 août 2015 fut bien long et mouvementé. Pour rappel, j’avais très fortement relaché mes entrainements suite à ma saison 2013 conclue par mon premier passage sur la ligne d’arrivée à ce même Embrunman. Le bilan à l’époque était simple: plus d’envie, de l’usure suite à 4 années successives sur la distance IM … en gros le besoin de passer à autre chose. 2014 a donc été l’année de l’aération, du relâchement. Mon année n’a pas été inactive, loin de là. Je l’ai ponctuée de (très nombreux) kilomètres à vélo mais sans aucun objectif de performance ainsi que de séances plus ludiques en salle de fitness, histoire de s’entretenir un minimum. Par contre, pas l’once d’une envie de nager ou de s’entraîner sérieusement.

Pour couronner le tout, je termine 2014 sur un échec cuisant sur le XL de Gérardmer (et oui, j’ai mis 1 ou 2 dossards en 2014), épreuve sur laquelle je voulais me relancer en vue de 2015. Bilan 2014 conclu sur le bitume vosgien, épaule luxée, scaphoide abimé … l’hiver s’annonçait radieux !

Un hiver calamiteux

L’automne au repos forcé par la faute à mes mésaventures Gérômoises, j’entame l’hiver sans grande ambition. Du coup la reprise se fait via la salle de fitness, la mobilité et la stabilité de l’épaule reviennent lentement. Le scaphoïde fait encore mal, mais uniquement sur des poses spécifiques. Ca ne parait pas, mais le mouvement de crawl reste impossible … A ce moment de l’année, Embrun me semble bien loin, tant les priorités sont plus globales afin de redémarrer tout le système.

Vers février, je me sens enfin prêt pour un nouveau départ. Je me présente donc à plusieurs séances nat du club … le moins que je puisse dire, c’est que ça a piqué sévère: pas moyen de retrouver des sensations dans l’eau, pas moyen de s’accrocher dans la ligne d’eau, tout le monde me semble hyper à l’aise et motivé … en gros ça met le doute. Ca l’a d’ailleurs tellement mis que je n’y suis pas retourné de l’hiver.

La suite de mon hiver galère se fera donc au rythme des séances à la salle de fitness, en espérant des jours plus souriants.

Le déclic

Pendant mon hiver plein de doutes je ne perds cependant pas de vue l’été qui se profile. Malgré le manque cruel d’entrainement, de rythme, de réussite aussi je m’inscris pour une semaine de stage au sein de la très belle structure proposée par Gaël Mainard à Calella en Catalogne. Mon hiver se terminant comme il a commencé, je m’y rendrai avec une base de préparation à vélo et … pas grand chose d’autre. Si je me sens prêt pour me remettre la tête dedans, à m’appliquer à progresser, je sais par avance que ce sera dur.

Le 11 avril arrive donc rapidement. Je me rends à ce stage tant attendu le plus humblement du monde, sachant que le niveau y est généralement hétéroclite mais aussi très élevé selon les groupes. La liste des participants à elle seule annonce la couleur: Cyril Viennot, Guillaume Jeannin, coaching par Patrick Bringer … du lourd, et surtout du qualitatif !

Bilan de cette semaine: des difficultés à se mettre dans le rythme, mais beaucoup de satisfaction et un moral boosté grâce à la tendance positive enfin engagée. Une bonne trentaine d’heures d’entraînement au soleil qui auront eu pour effet de me redonner confiance et envie.

Retour en Alsace: je m’inscris immédiatement pour l’Embrunman et mets en place les bases pour m’entraîner au mieux et progresser dans les 3 disciplines.

Printemps studieux

A partir de là, j’ai commencé à faire le boulot pour me mener dans les meilleures conditions à Embrun. Objectifs: reprendre les séances nat de manière régulière et sérieuse, progresser impérativement à pied et pour cela intensifier le travail qualitatif, et enfin tenter de hausser mon niveau à vélo à partir de juillet en y incluant également du travail spécifique.

… Fast forward …

Semi des Courses de Strasbourg: 1h28min et premiers fruits tirés de la nouvelle organisation

Half d’Obernai: 23ème, sous les 5h pour ma reprise en tri

Stage orienté vélo à Embrun: dur dur et tombé malade, mais on ne s’affole pas !

Sprint de Grossweier: 13ème … la vitesse est revenue

Cyclos de La Marmotte, en forêt noire et dans les Vosges: la constance revient à vélo

Mois de juillet très studieux avec un bloc très éprouvant de 4 semaines mêlant intensité et volume

… et voilà, on y est déjà …

L’avant course

Arrivée le mercredi à Embrun pour une course le samedi: pas de stress (enfin presque).

On cligne des yeux et ça y est, le réveil sonne. Il est 3h15min, nous sommes le samedi 15 août. Plus moyen de reculer !

La nuit a été chaotique, mais le repos accumulé la semaine précédant la course est bien là.

Petit-déjeuner au riz au miel pour ne pas changer ce qui fonctionne, habillage bien chaud pour se rendre au parc.

Muni de la caisse fournie par l’organisation, je rejoins Marc et sa famille au complet à 4h30 pour rejoindre le plan d’eau.

Il fait vraiment frais, j’ai oublié ma frontale, mais rien n’est grave, je suis dans ma course.

A l’approche du parc, c’est toujours aussi impressionnant: des centaines de lucioles, de familles avec enfants, voire bébés sont déjà actifs à cette heure plus que précoce.

Conjointement avec Marc nous nous dirigeons vers notre rang, le Nr 23. Les vélos son posés à même le sol, car la veille un énorme orage a obligé l’orga à les déposer afin d’éviter tout dégât … mais tout est en place, pas de casse.

La pression faisant son effet, je serai un des premiers à visiter la cabine de toilettes … je vous épargne les détails !

On en profite pour saluer les quelques connaissances: Alain Siegel qui s’aligne pour son 7ème Embrunman (rien que ça !), Stéphanie Reymond (une pro dont j’ai fait la connaissance lors de mon stage en Espagne). Information importante donnée à l’occasion de ces salutations: il devrait pleuvoir à partir de l’Izoard. C’est donc décidé, je m’habillerait un peu plus pour la course … la suite de la journée montrera que c’était ma meilleure décision du jour !

La combinaison est enfilée aux 3/4 depuis un bon moment (pour se réchauffer!) et je patiente à la sortie du parc à vélo, sachant que le sas de départ ne peut pas contenir tous les concurrents. Très vite nous laissons passer les féminines et elles s’élancent à 5h50 dans le noir le plus complet. A peine le temps de respirer et nous y voilà: les portes du sas s’ouvrent et nous trottons jusqu’au bord du plan d’eau où nous patientons avant le départ. Je place mes lunettes entre mes 2 bonnets, ôte plusieurs fois la buée persistante … PAN ! C’est parti, il est 6h00.

La natation

Dès les premiers mètres c’est la cohue. Il faut dire que les herbes habituelles sur la partie droite du départ sont cette année bien plus hautes et gênantes et on a du se passer le mot parmi les participants qui « tirent » tous à gauche … gros embouteillage à la clé. Celui-ci durera pour moi jusqu’à la fin du 2ème virage, c’est à dire quasiment 1/2 tour ou 1km. C’est stressant et agaçant, mais la journée sera longue. Je m’applique donc à partir de là à poser ma nage en mettant de la cadence, en restant technique et en tâchant de ne pas y laisser trop de forces. A l’attaque du 2nd tour, j’appuie un peu plus, je me sens bien.

Je termine cette partie de la course sans encombre et sors en 1h04 à mon chrono. C’est conforme à mon niveau actuel.

T1: on ne perd pas de temps, en appliquant la routine de course. La tenue sera plus chaude qu’à l’accoutumée: haut manches longues « chaud » et petit gilet coupe vent.

Le gros morceau: le vélo

Un petit footing sur tapis afin de sortir du parc et c’est parti. Pas de surprise: on tourne à gauche, puis à droite, et c’est pour les 15 premiers km … de montée.

Le départ est prudent. Je cherche à tourner les jambes … et me retrouve tout à gauche ! Toujours dur de se mettre directement dans le rythme.

Première indication du jour: le petit raidillon à 16% passe sans que je ne m’en rende compte, bon pour le moral.

La suite est « under control » sur la première boucle de 40km (celle du CD). Ambiance tour de France au passage en direction des Orres. Il y a un monde fou, l’ambiance est assurée.

A la sortie de ce passage, c’est parti pour un no man’s land de 145km … séance d’introspection en perspective !

Je me surprends à rouler assez fort dans les gorges du Guil, mais je sais que je n’exagère pas. Un arrêt imprévu lié à un déraillement ne me fait pas sortir de mon rythme, et (hasard ou logique), je m’arrête au même endroit que lors de mes 2 premières participations pour une pause technique, aux alentours du km 70. C’est ce moment que le ciel a décidé de corser les conditions: une pluie fine s’invite. Elle ne nous quittera qu’au sommet de l’Izoard. Parlons-en de celui-ci: eh bien je n’étais vraiment pas à l’aise lors de son ascension … mais ça passe.

Le sommet atteint, pas de fioriture: échange des bidons vides pour des pleins. On recharge les poches avec barres, gels et sandwichs. J’attaque la descente détrempée vers Briançon.

La descente ne sera pas de tout repos, la faute au froid, aux projections d’eau … et à mes roues carbone ! Le choix était risqué mais au final payant: j’ai roulé tout le printemps avec mes roues fétiches, et je savais que je ferais l’Embrunman avec, quoi qu’il arrive. Elles m’auront causé une ou deux frayeurs (quand tu freines et qu’il se passe … ben rien du tout), mais je pense qu’elles sont à l’origine de mon aisance sur la fin du parcours.

J’arrive à Briançon, où la traversée du centre-ville a quelque peu changé. Direction les Vigneaux … et retour de la pluie. A partir de là c’est la guerre: les conditions se dégradent au fil des km, mais toutes les difficultés passent de mieux en mieux. C’est d’ailleurs toujours aussi étrange de se retrouver totalement seul des kilomètres durant.

Moment insolite: en pleine descente vers l’aérodrome, je vois un arbitre qui s’agite et nous ordonne de poser pied à terre, ce aue nous faisons. 20 mètres à pied sur un beau tapis et nous reprenons notre course. Cause de cette « transition » improvisée: un pont en rénovation …

Le retour se passe bien, malgré le fait que nous soyons détrempés. Retour vers Embrun pour affronter l’ultime difficulté: la montée de Chalvet. Je croise à son pied Guillaume qui est déjà sur le parcours pédestre. J’en profite pour l’encourager. La montée sera calamiteuse, mais c’est enfin la libération et la descente vers le parc. Cette descente est toujours aussi … pourrie ! C’est du VTT, et en plus c’est mouillé. Un dernier freinage prudent sur le tapis bleu. Je pose pied à terre.

T2: Je trotine vers mon rang Nr 23 où des bénévoles proposent des massages mais je n’en veux pas. Tout est en place, il ne faudrait pas trop de détendre ! N’ayant pas de serviette, j’utilise mon maillot vélo pour me sécher les pieds avant d’enfiler mes chaussettes (pas classe mais efficace). Je me chausse, visse la casquette, me charge en gels et c’est parti pour un petit footing bucolique de … 42km.

Run … ou l’inconnue

Pourquoi l’inconnue ? Simplement parce que le marathon à Embrun et moi, c’est une longue histoire … douloureuse aussi. Entre l’abandon au km 28 de 2012 et la marche interminable de 2013 j’ai quelques souvenirs sur ce parcours. Je pars donc prudemment, mais hyper concentré sur moi-même, sur ma foulée, mes sensations, mes chronos (surtout pour ne pas partir trop vite!). Le départ est prudent, il fait froid, mais je suis mobilisé. Ca ne dure pas 4km avant que la première bouffée de chaleur pointe son nez: pas de conditions extrêmes cette année, mais des changements climatiques incessants, des chaud-froid au gré des nuages. Cool de recevoir des encouragements incessants sur la première moitié du tour et de voir les connaissances: Brice, Nico (mon cousin), mes parents. Tout cela me pousse, et je me sens bien. Les montées se font à petite foulée, mais sans jamais m’arrêter de courir. Je me retrouve vite sur le « chemin de croix » (le retour vers Baratier et ses interminables bosses). J’arrive au ravito de Baratier et je le sais: la fin du tour, c’est du pur plaisir, tout en faux-plat descendant. Je termine donc ce premier tour dans les meilleures conditions et me fait surprendre par une tape amicale juste avant de passer au 2nd tour. Il s’agit de Guillaume qui s’apprête (déjà) à passer la ligne d’arrivée. Il terminera 8ème et premier Français en moins de 10h30 … RESPECT pour cette énorme perf !

Passage sur la ligne pour boucler le premier semi et je me sens toujours bien, même si les km commencent à peser. Je suis méfiant, en 2012 je me sentais au top et en l’espace de 500m je ne pouvais même plus marcher, avec la fin que certains connaissent … je reste donc mobilisé comme jamais.

Je m’arrête à mon ravito perso, me recharge en gels et emporte une petite bouteille remplie de mon breuvage favori (celui pour les courses, pas celui des soirées …). C’est reparti pour un (dernier) tour. La foulée reste propre, mais j’apprécie de plus en plus les quelques mètres marchés à chaque ravito. Ah j’oubliai: Brice m’avait annoncé Alain à 3min peu avant le passage au semi. Je repasse devant lui et il m’annonce 30″ … ça doit être dur pour Alain, pourtant un vrai roc. Pas le temps d’y penser que je le rejoins au ravito suivant. On échange 2 ou 3 encouragements et je poursuis.

Je passe la montée vers le centre-ville sans encombre, toujours au pas de course. La sortie du centre c’est la séance angoisse au passage des zones où j’ai « agonisé » en 2012. L’air de rien, ça met le doute et j’en ai la chair de poule ! Je poursuis, toujours un peu plus faible mais surmotivé. Je me recharge en énergie positive au km32 quand mon cousin m’hurle dessus en me martelant que j’ai bonne allure … s’il savait à quel point je lutte à ce moment …

Ce qui devait arriver arriva: après le passage sur le pont en fer au-dessus de la Durance je me mets à marcher dans la côte de « La Madeleine ». Pas bon, je le sais. Mais je suis focalisé sur le résultat et me remets à courir dès le sommet atteint et je rejoins le ravito suivant où un bénévole me propose une « douche » rafraîchissante car l’ambiance est soudainement devenue irrespirable. Je repars à bonne allure (enfin allure ressentie), et je me focalise sur le ravito de Baratier. Je le sais, après c’est gagné. Le cocktail gagnant sur cette course aura été le pain d’épices que je fais fondre dans la bouche avec du cola dilué, le tout agrémenté d’un petit gel de temps à autres (il y a mieux niveau goût et consistance, mais c’est drôlement efficace). Et là ça y est: j’atteints le ravito tant attendu. Je me ravitaille de mon mélange favori et pars confiant pour les 6-7 derniers km. Le faux-plat descendant est bien moins facile au ressenti qu’au premier tour, mais je me motive à l’écoute des commentaires venant de spectateurs inconnus: « tu as vu celui-là, il a bonne allure » ou « vas-y tu l’as fait » …

J’arrive rapidement sur la digue où je croise Marc qui m’annonce « sub 13h00, c’est top! », et dire que lui part pour encore 20 bons km ! Je traîne un peu la patte sur le chemin au bord du plan d’eau et ses montées casse-pattes mais j’arrive vers la zone de transition. Je remets un peu tout en place pour être présentable et elle s’ouvre enfin à moi: la dernière ligne droite ! Je m’y applique pour courir « propre », je jette un œil vers la gauche où sont postés mes parents, mon cousin et son amie et c’est la délivrance. Je passe la ligne en 12h37min. P….. jamais j’aurais cru passer aussi largement sous les 13h mais c’est fait !!!!!!!!!! YES !

L’après course

Comme d’habitude je n’ai ni chaud ni froid ni faim, juste très soif. Du coup je me dirige directement vers les massages, une bouteille d’eau et un verre de cola à la main.

Là surprise: pas de queue, je suis pris en charge quasi-immédiatement (je crois que ça ne m’est jamais arrivé!).

2 étudiantes kiné se chargent de faire passer au moins en partie les multiples contractures qu’ont généré le marathon. Cela me fera grand bien.

Je rejoins mon vélo, rassemble mes affaires et ne tarde pas car j’ai une grande sensation de froid. Étonnamment je me sens toujours aussi bien (normalement j’ai besoin d’une bonne heure allongé avant de retrouver mes esprits). A la sortie du parc, félicitations de mes proches puis nous nous dirigeons vers les autos. Je croise sur le chemin la famille de Marc qui me félicite en attendant qu’il en termine, ce qu’il fera peu après.

Le reste de la soirée sera un peu galère du fait des effets de la deshydratation avancée que j’ai subie: sensations de nausée sur le trajet retour, troubles de la régulation thermique (je me gelais à table et ai dîné dans mon sac de couchage …) puis la fin de (la courte) soirée se fera allongé sur mon lit, le Compex au taquet, avant de m’endormir profondément, la sensation du devoir accompli.

… Dédicace à ceux qui ont déjà vécu cela: se lever en pleine nuit pour aller aux toilettes qui se trouvent 1 étage plus bas … et mettre plus d’une minute pour 20 marches, ça n’a pas de prix !

Thierry, finisher Embrunman 2015 en 12h37min18s

Swim 01:04:24

Bike 07:21:49

Run 04:01:44

Il n’y a pas à dire, ce Nr 5 aura pour toujours une saveur particulière, et l’Embrunman est décidément une course envoûtante, si dure mais tellement belle …

Next one … 05.06.2016, sur la promenade des Anglais. Je sais que je ne serai pas le seul représentant de la Wantz sur place …

Si certains se sentent l’envie de vivre de terls moments, je compte aller en stage à Calella en Février et en Avril … avis aux amateurs.

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Trail de Ferrette 16.08.2015

Petit passage  à la pointe sud du Haut-Rhin pour Audrey SIEGEL, qui a participé aux courses de Ferrette ce dimanche 16 Août.

Plusieurs formats aux programme: course Avenir, trails de 7.5, 14.5 et 31.5 km et avec un doublement des participants cette année, on va tout doucement commencer à entendre parler de Ferrette.

Audrey s’est lancé sur le plus long des formats tout en formant un duo inédit avec son chien. La pluie et la boue ne les ont pas lachées mais elles se sont bien amusées.

Ce Trail de 31,5 km pour 1160 m de dénivelé traverse le massif du Jura alsacien en passant par des sites pittoresques dont l’Allée des Hêtres, la faille de la Grotte des Nains et le château de Ferrette.

132/150. SIEGEL Audrey en 4h11:27

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Embrunman 15.08.2015

2 amis au rdv de cet Embrunman 2015, the race….

Marc dit Flashmaqui et Thierry EHRHART

lestris

2 Wantzenauviens au pied de l’Izoard, prêts à en découdre et à relever ce formidable défi.

La météo restera plutôt fraiche malgré le retour du soleil lors du marathon.

Sur les quelques 1255 arrivants, voici nos 2 champions

174. EHRHART Thierry en 12h37:18

1h04:24

7h21:49

4h01:44

 

665. LAUER Marc en 14h26:17

1h11:45

8h12:48

4h43:31

Thierry 4

Marc

Marc

Thierry

Thierry

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On attend avec impatience leur récit de course!!

 

Et un immense merci à Brice pour les infos retransmises toute  la journée ainsi qu’à son papa pour les superbes clichés!!

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CD Embrun 13.08.2015

Embrun

Le mythique EMBRUNMAN….bon nombre de nos wantzenauviens y ont déjà goûté, certains y sont retournés, d’autres en rêvent! Au fil des ans, l’Embrunman s’est largement développé et offre à présent aux athlètes une semaine complète d’épreuves…laissant un peu cette superbe vallée dans un bouchon perpétuel.

Pour vous éclater, duathlon, bike & run, triathlon, grand prix, courses avenir, aquathlon et Embrunman…..sacré programme!

Brice a quasiment grandi à Embrun, il connait bien l’endroit mais sa jeune expérience de triathlète le pousse à rester raisonnable en  s’inscrivant au CD d’Embrun  1.5/44/10 km.

Sur quelques 858 arrivants,

 

488 2094 Brice SOMENZI 03:08:40 VEM 178 Male 434 SG WANTZENAU TRI 00:32:03 01:36:10 00:52:47
Magic Brice

Magic Brice

 

 

Voici son récit en direct live

Afin de vous mettre en bouche pour suivre nos trois champions demain, sur l’EmbrunMan, je me permets, humblement, de vous faire un petit compte-rendu de ma course d’hier, le CD d’Embrun.

Je sais qu’en principe, la tradition du club est de faire un récit en tant que finisher d’un ironman, c’est pourquoi, modestement, je vous parlerai de compte-rendu et ferai court, les images parlant si bien d’elles-mêmes ! 🙂

La veille, visite chaleureuse de Flashmaqui, en famille 🙂

Réveil à 4h. Pâtes complètes au ketchup-parmesan, avec café. Mon sang italien a parlé 🙂
Arrivée sur le parc à 5h45, préparation et mise à l’eau pour un échauffement minutieux à 6h20, petite pause photo en famille avec madame et ma maman.

Nata :


Départ des femmes à 6h50, puis des hommes à 7h.

Je suis juste deux rangs derrière le futur vainqueur, Bertrand Billard, et mon placement « un peu trop devant » au vu de mon niveau de natation m’a voulu une pluie de bras dans la tronche, histoire de bien me réveiller !
Je finis en crescendo et sors satisfait de l’eau, économisé, donc bien frais.
T1 un peu longue, mon pêché mignon à corriger.

Vélo :

Mon point fort. J’étais en forme, dès les premiers coups de pédale, je volais dans les premiers hectomètres en danseuse, et allais rattraper beaucoup de concurrents, surtout beaucoup de filles, parties 10′ plus tôt.
Conditions idéales, 20°, soleil, ciel bleu. Un vrai plaisir. Route exclusivement dédiée aux triathlètes.
Je boucle les 44km avec 800m D+ à 27 de moyenne, en m’économisant sur les derniers km, cherchant à m’alimenter pour la CAP, car en haut des Puys, j’ai dû prendre un petit coup de froid sur le ventre, j’ai passé un mauvais 1/4 d’heure gastrique on va dire…

CAP :

Après une T2 encore trop longue (Booster + genouillère) je m’élançais avec direct deux points de côté au bout d’un km. Je baissais l’allure le temps de les faire passer. Rapidement la chaleur commençait à se faire sentir, malgré les 9h30 à 800m d’altitude. Je retrouvais mon allure et profitais des encouragements de ma famille, de Marcouille et la sienne, de Thierry et du public, assez incroyable à beaucoup d’endroits. J’avais beau être à Embrun, j’ai souvent entendu « Allez Brice de Nice ! » chez les plus jeunes 🙂
J’aurais voulu accélérer en CAP mais pas possible, la cheville gauche s’invitant en plus au voyage au 7ème km. Je termine 1′ au dessus de mon chrono CAP escompté, malgré le final avec les chaleureux encouragements de Titi, Marc et ses enfants, plus ma douce qui me poussa à sprinter pour franchir la ligne (elle veut me tuer avant l’heure).
Au final je suis ravi, je termine en 3h08’40 » à 58′ du vainqueur (je voulais pas finir à plus d’une heure !), et à la 488è place sur les quasi 1000 dossards attribués.
858 finishers.
Je réalise exactement ce que j’avais prévu. Mon gain de temps à vélo (4′) s’est évaporé dans des transitions de pépère…


Merci à Audrey et Alain, Thierry Knorr pour vos encouragements à distance, à Marc et sa petite famille, à Thierry Ehrhart en parfaits supporters.
Mention spéciale à mon pote Vincent de Murcia, qui même à distance, m’a appelé par deux fois pour me booster davantage.

Place au grand, au mythique EmbrunMan, maintenant, demain.

La météo sera sans doute moins favorable que pour le petit, hélas.

Place à nos champions, Marc, Thierry et Alain. Dossards 956, 957 et 320.

Je serai là-bas pour vous informer et surtout vous alimenter en temps réel de photos. Mon padre, aura aussi son super appareil pour agrémenter par la suite le récit de nos trois guerriers.

Bien à vous tous, à bientôt.

Brice

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Embrunman 32ème édition : focus sur le dossard 957

A l’instar des Norseman, Breizhman, Natureman, Ventouxman ou encore la Merguezman, tout le monde connait l’Embrunman, le mythique triathlon d’Embrun, réputé pour être le plus dur en Europe si ce n’est au monde. Plus haut que les autres avec ses 5000m de dénivelé positif pour le parcours vélo. Plus exigeant que les autres avec son parcours marathon non plat qui devient le théatre de tous les rebondissements où les triathlètes jouent leurs derniers atouts pour franchir la Finishline, retenant le souffle des spectateurs, coupant celui des triathlètes…

Les finishers de l’Embrunman du club ont des heures de récits dans leur besaces et certains remettent même les couverts parcequ’ils ont toujours faim !

Mais qui peut bien se cacher derrière ce dossard 957 ?

Récit de Flash Maqui [alias Marc dans la vrai vie], écrit avec ses mimines, bref, un superhéro comme les autres…

 

Ça y est, le jour J est tout proche. (J-7 au moment de la parution de ce témoignage)

Aujourd’hui je viens de finir mon entraînement pour l’Embrunman 2015

 

Mes chiffres depuis le 15 décembre 2014 :

 

Totaux/235 activités/7731 kils/410 h. soit 12 h. de moyenne semaine.

 Nata /54 activités/166 kils/65h. soit quasi 2 h. semaine.

Bike /93 activités/6492 kils/247h. soit quasi 7 h. 30’ semaine/67500 D+

C.a.p. /88 activités/1073 kils/98h. soit  quasi 3h. semaine/4037 D+

 

J’ai tout donné dans cet entraînement, on a tout donné. 

Et oui, je ne suis pas tout seul dans cette aventure, ma famille, mes amis, mes potes en sont aussi. 

Je vais avoir 45 ans le 10 août, je suis père de famille. 

Nous sommes quatre; ma femme, mes deux enfants (10 et 9 ans) et moi-même. 

Pour pouvoir se lancer dans ce défi qu’est l’Embrunman, faut réunir tout le monde autour de soi ; famille, boulot et potes sinon tu n’y arriveras pas ou avec quelques difficultés supplémentaires. 

Tu ne pourras pas faire un entraînement serein. 

Cela fait maintenant 11 ans que je pratique ce sport, cette passion qu’est le TRIATHLON.

J’ai pris mon temps pour acquérir de l’expérience. 

J’ai commencé en 2004 par le Sprint d’ Obernai (500 nata. / 22 vélo / 5 cap) à la suite d’un défi lancé par mon beau-frère (j’ai encore le tee-shirt). 

Puis, j’ai augmenté la distance, année après année. 

Multiples finishers (Sprint, CD, Half Iron, Ironman (1 Roth et 1 Embrunman) et triple finisher sur marathon sec, des 10 et des semi-marathons etc.) 

Je crois pouvoir dire aujourd’hui que je sais où je vais…

Pour votre info sachez que, quelque soit le résultat, que j’abandonne, que je sois finisher ou pas, ce sera ma dernière distance Ironman.

Aujourd’hui, cette distance, cet entraînement spécifique n’est plus compatible avec la vie de famille et le boulot et moi-même au passage. (Il m’a fallu 5 mois pour démarrer la machine)

De plus, j’ai fais une promesse à ma famille, ce sera ma dernière distance Ironman avant au moins 5 ans. 

Je n’arrête pas le triathlon, je ne peux pas, j’ai ça dans le sang. Je m’arrêterai sur le Half.

Grâce à ma famille, mes potes, j’ai pu tout mettre sur cet objectif, vraiment tout, la preuve, suffit de lire mes chiffres. 

J’ai tout connu cette année, les sensations qui arrivent progressivement, les joies et les peines, le chaud (plus de 40 degrés), le froid (jusqu’à -8 degrés), le brouillard, la pluie, l’orage, la grêle, la neige, le verglas, le vent, le GROS vent, la crevaison, le TOUT en même temps, l’envie de balancer le vélo dans le fossé, vomir parce que trop forcé, pleuré parce que à bout de force (enfin je croyais…), explosé parce que surchauffe du bonhomme et pour finir l’hôpital car renversé délibérément par un malade en voiture.

Je suis un amateur, je ne suis pas un gars « puissant et fort, mais motivé, TRÈS MOTIVÉ»  je suis venu au sport assez tardivement dans ma vie. 

En effet, mon régime étant plus jeune était surtout : escalope de dinde à la crème, frites, ketchup, cigarettes et un peu d’alcool que nager, pédaler et courir… 

C’est un investissement total, aussi bien psychique, que physique,  financier, familial et professionnel. 

Ce n’est pas donné à tout le monde d’avoir des horaires et un planning régulier, c’est même une chance à ce jour.

De plus, j’ai la chance d’avoir au sein de mon club, la S.G.Wantzenau Triathlon, un vice président qui fait du coaching sportif « Pep’S » (c’est le nom de sa boîte)

De fil en aiguille nous avons pu prendre le temps de se connaître « Jean-François Maes » et moi, je l’ai engagé pour une année. 

Pour voir si effectivement le coaching sert à quelque chose. 

Si un coach, une personne qui ne vis pas avec toi, une personne de l’extérieur est capable de te dire, fais-ci, fais-ça, et t’amènes au top de ta forme le jour J.

Cela fait un programme de 35 semaines, quasi 9 mois, autant comparer avec un accouchement J

Mon coach « Jeff » (son surnom) est un très bon professionnel. 

Il est présent, à l’écoute, de bon conseil. 

Il réalise les entraînements sur mesure, chaque semaine, suivant mes capacités physiques, mes contraintes familiales et professionnelles. 

Après chaque entraînement, je lui envoie mes impressions, mon ressentie, bref je lui fais un débriefe et il s’adapte. 

Ahh, très important, ça fait 1 an et demi que j’ai un sparring partner de luxe. 

Le bien nommé Matthias Schott (28 ans et un cœur gros comme ça…Et pour vous donner la mesure du gars, il a fait son premier marathon sec l’année dernière en 3h24’ en s’entraînant comme un naze, c’est vous dire le potentiel du bonhomme…) 

Alors merci Matthias, « enfoiré, tu m’en auras fait voir de toutes les couleurs »

Aujourd’hui, je me sens bien.

J’ai vraiment envie de prendre le départ, je suis déterminé, motivé.

Bien sûr que j’ai peur, mais c’est pas la peur au sens de rester à la maison, c’est celle qui te pousse à vouloir te dépasser. 

Je ne me pose plus de questions, j’ai juste envie de me lâcher, envie de me battre.

Pour une fois dans ma vie de sportif, je n’ai pas besoin de penser au lendemain, de faire attention. Je n’aurai ni la contrainte de mon activité professionnelle, ni celle du trajet jusqu’à l’épreuve aller/retour et je n’aurai pas la responsabilité de véhiculer un compagnon de route. 

Cette fois-ci, rien de tout ça. 

Toute ma famille sera présente, même mon père 77 ans (il n’est jamais venu à une seule de mes compétions sportives) alors si je suis motivé pour finir ? OUI. 

Mais je reste serein, je garde la tête froide et humble devant la distance, surtout devant l’Embrunman.

Cette compétition à mes yeux est MYTHIQUE et UNIQUE. 

Il faut quand même savoir que sur le marché du triathlon aujourd’hui, l’Embrunman reste la distance Ironman la moins cher mais aussi la plus « rustique » du circuit.  

Ahh c’est sûr, tu n’as pas un ravito. tous les 2,5 kils sur le marathon avec 15 mètres de variétés (boissons diverses, fruits secs, barres énergétiques, fruits frais etc) ça non, c’est plutôt 8 ravitos (4 par semi) avec de l’eau, une boisson isotonique et des fruits secs et un ou deux fruits frais qui se battent en duel, s’il en reste…

Mais c’est ça aussi l’Embrunman.

Comment finir mon récit ? 

Oui j’y suis, maintenant à moi de jouer, à moi de faire le job. 

Je ne serai pas seul sur cette course. 

On dit aussi : « entraînement difficile, course « facile » on verra bien »

Très important :

TOUT FINISHER EST UN WINNER. 

TOUT CEUX QUI FINISSENT, PREMIER OU DERNIER, ON EST TOUS DES GAGNANTS, ON EST TOUS DES IRONMANS. 

PS/ pour comparaison mes temps Embrunman 2013 

        Nata : 1h.18’10’’ / T1 :10’14’’ / Bike : 8h.40’33’’ / T2 : 9’34’’ / C.a.p. : 4h.59’32’’

 Finisher : 15h.17’59’’9’’’

peps

 

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le site de l’organisation

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Heidelbergman 02.08.2015

t2-1bAusschreibungUne belle délégation de nos Wanzenauviens ce dimanche en terre allemande sur le magnifique site de la ville d’HEILDELBERG…mais aie aie aie les gars, vous n’avez emmené aucune fille du club 🙁

1600m au programme natation suivi de 36km de bike et un 10km en courant, ou autre vu la chaleur du jour, pour arriver en finisher!

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Les triathlons défilent au cours de la saison et nos athlètes varient leur classement au gré des courses et du coup,

« Speck » est sur un nuage, meilleur vélo et meilleur càp du groupe, il mérite bien ses vacances.

Le prez est lui à 2 places du podium TM60, mais largement devant le 1er TM65 : patience Jean Marc, dans 5 ans tu seras sur le podium !

Benoît « peux mieux faire » : il partait pour Londres direct aprés la compét’, il avait déjà la tête dans l'(euro)tunnel. Il pointe ex aequo avec Claude.

Brian a vu les étoiles, petite baisse de tension à l’arrivée (il faisait 32°C sur la càp), mais a nettement amélioré son temps N-2

Arnaud PETER, DNS repart écœuré (il était venu faire une reco. et il était bien le favori SGW) : son câble de dérailleur casse 1h avant le départ, morceau coincé dans la manette, impossible à réparer malgré les stands sur place (« kaputt », haben Sie gesagt) … il rentre, difficile de faire +850m avec un mono-vitesse …

Classement sur 496 arrivants

178. SPASSKI Dominique 2h45:38

190. GABEL Olivier 2h48:52

234. BORNERT Jean-Marc 2h51:40

261. SCHLAEDER Claude 2h54:03

261. JUND Benoît 2h54:03

417. FISCHBACH Stephane 3h16:12

465. ADAMSON Brian 3h28:36

Heidelbergman

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Comme d’hab’, très belle épreuve, orga. au top, du monde du début à la fin, gros ravito, pelouse sans trèfles ni pissenlits !

Bravo les gars!!

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Triathlon Freiburg 26.07.2015

Pas de repos pour certains, ils préfèrent enchaîner les perfs….Bravo pour ce triathlon de FREIBURG : 1/40/10 km

Merci à Rémy pour son compte rendu

Très belles conditions cette année. L’eau était très bonne, j’aurai bien traîné un peu plus longtemps dedans, mais Arnaud n’a pas voulu attendre plus de 15’30 -frileux d’Normand!-

Puis il a pris l’autoroute à vélo et a craqué ses lacets en càp tellement il était chargé ce dimanche. Ou alors c’est la nouvelle trifonction… Il termine donc 1er de sa catégorie. Dommage qu’il n’aie pas pu se doucher..

Paul fait également une belle deuxième place pour son au revoir au triathlon.

Merci à son fanclub, venu nombreux et qui nous a également agréablement encouragé.

Encas et récompenses : des saucisses, des croquettes (les deux pour chiens vu la tronche des premières), mais de belles casquettes. Bière, mais sans alcool only.

– Grégory Lefebvre est également venu prendre une médaille d’or sur le sprint… Surement une revanche sur la victoire Allemande de Betschdorf 

Résultats détaillés:

Nom Clmt gnrl Catégorie Clmt catégo Baignade* Mobilette Trotinette Tatal
Grandemange Rémy 22 TM25 7 15 »30 1’07 »12 42 »49 2’05 »31
Peter Arnaud 34 TM45 1 15 »30 1’11 »06 42 »45** 2’09 »19
Fischer Paul 107 TM60 2 20 »54 1’17 »50 55 »53 2’34 »37
Gobert Marie 26 TW25 8 20 »11 ???*** 2’21 »14 2’41 »26
Adamson Brian 114 TM45 16 21 »34 1’17 »45 1’03 »50 2’43 »09

*On est bien à 1min du 100m, t’as vu Antoine! Et encore Arnaud m’a chopé les pieds pour pas qu’on aille plus vite! Alors que j’ai été galant avec lui toute la course! Je l’ai même encouragé pour qu’il garde le moral en cap.

**je sais, filez acheter des lunettes vous avez dû mal lire :p

*** beaucoup de puces n’ont pas marché par endroits…

Notes sur l’organisation:

-Le parcours de course à pied a été modifié et était plus simple (pas de grosse montée soudaine), mais moins joli.

-Les saucisses… WTF… On est pourtant en allemagne, ils s’y connaissent en charcuterie et ils nous servent…

-Les mêmes équipes à vélos: on prend les mêmes drafteurs et on recommence… saoulant. Bon au moins je termine devant eux à vélo cette année. Mais comme l’an dernier ils ne prennent pas de carton alors qu’ils se sont suivis d’un bout à l’autre du vélo… suffit de voir les temps, ils arrivent ensemble…

Reste une bonne natation, et un parcours vélo hyper roulant malgré pas mal de petits virages (et même du pavé) pour se rendre aux zones roulantes.

Triathlon recommandé.

Paul...le style avant tout

Paul…le style avant tout

Arnaud

Arnaud

Rémy

Rémy

Brian et Paul

Brian et Paul

Marie

Marie

Rémy

Rémy

Rémy

Rémy

Arnaud

Arnaud

Rémy

Rémy

Paul

Paul

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La Robertsauvienne 05.07.2015

Course  officielle , conviviale et toujours GRATUITE, 10 km  en FORET de Pourtales

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Très gros soleil, comme d’habitude. Beaucoup d’inscrits ont préféré renoncer à cause de la chaleur, mais ce ne fut de loin pas le cas de nos valeureux Wantzenauviens.

Nos résultats sur 590 arrivants

Scr. Nom Prénom Club Temps Moy/Km Km/H Nais Cat ClCa
120 SCHOTT Matthias Sg Wantzenau 00:45:03 04’30 »30 13.32 1987 SEM 53
259 GRANDEMANGE Remy Sg Wantzenau Triathlon 00:50:26 05’02 »60 11.90 1986 SEM 113
284 LUZIN Cecile Sg Wantzenau 00:51:48 05’10 »80 11.58 1983 SEF 10
429 ADAMSON Brian Sg Wantzenau Triathlon 00:58:03 05’48 »30 10.34 1968 V1M 117
Brian

Brian

Rémy

Rémy

Cécile

Cécile

Cécile

Cécile

Rémy

Rémy

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Mathias

Mathias

Brian

Brian

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Course cycliste LA MARMOTTE 04.07.2015

Ils étaient 5, de notre club, à réaliser cette formidable course, tous finishers tous des winners!! BRAVO à Marc LAUER, Thierry EHRHART, Jean François MAES, Bruno LAMI et Laurent MARTIN.

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Bourg d’Oisans – Alpe d’Huez

La Marmotte est une course cyclosportive célèbre et légendaire. Départ de Bourg-d’Oisans, arrivée à l’Alpe-d’Huez.

Enorme succès populaire pour cette épreuve plafonnée à 7500 participants !

Compte-tenu de la fermeture de la RD1091 au niveau du Grand Tunnel du Chambon, l’itinéraire de La Marmotte 2015 est modifié.

Le circuit 2015 aura des caractéristiques très proches du parcours historique : 170 km et 5100 m de dénivelé positif.

L’itinéraire empruntera les routes de l’Oisans et de la Maurienne, avec des routes et cols prestigieux :

  • Départ de Bourg d’Oisans (719 m);

  • Col du Glandon (1 924 m);

  • Lacets de Montvernier (777 m);

  • col du Mollard (1 630 m);

  • col de la Croix de Fer (2 058 m);

  • Bourg d’Oisans (719 m);

  • Arrivée à l’Alpe d’Huez (1 880m)

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Garmin Triathlon Paris 05.07.2015

Vous en rêvez, Stéphane Fischbach, lui, il l’a fait, le Triathlon de Paris.

1500m/40km/10km

Après avoir nagé 1500m sur le site de la base nautique de Choisy le Roi, Stéphane a raillé le centre de Paris et plus précisément la tour Eiffel, d’où il partait courir 10km en une seule boucle pour arriver aux pieds de cette même tour au stade Emile Anthoine.

 

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Ses temps : certificate954

Il se classe 1123/2275ème avec un beau chrono de 2h34:46!!

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Bravo Stéphane

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